Des chercheurs développent un traitement pour éviter la perte des cheveux

Alors que la perte des cheveux est une réalité difficile à avaler pour de nombreuses personnes, des chercheurs américains sont en train de développer un traitement qui pourrait bien enrayer ce phénomène.

C'est Radio-Canada qui rapporte cette nouvelle qui risque d'apporter de l'espoir à certains d'ente vous, surtout ceux qui craignent d'être atteint de calvitie dans les prochaines années. En effet, des ingénieurs américains de l'Université du Wisconsin-Madison sont en train de développer un traitement pour éviter la perte des cheveux. Il s'agit de très petits appareils qui recueillent l'énergie dégagée par le corps humain et qui stimulent le cuir chevelu grâce à des impulsions électriques. Les follicules pileux sont ainsi de nouveau en activité et entraînent la repousse des cheveux.

Radio-Canada indique que ces appareils sont tellement petits qu'ils peuvent être placés sous une casquette. Pour ceux qui se le demandent, ce processus ne serait pas douloureux et son utilisateur ne sentirait presque rien en utilisant ce dispositif. Seule ombre au tableau, la chaîne de télévision indique que cette solution serait seulement destinée à ceux qui sont au début de leur calvitie, cela ne fonctionnera pas sur des personnes qui sont chauves depuis plusieurs années.

Pour le moment, Radio-Canada raconte que ce dispositif a été testé avec succès sur des rongeurs. Il semblerait qu'il donne les mêmes résultats que les médicaments actuellement disponibles sur le marché, les effets secondaires en moins. La chaîne de télévision indique qu'un brevet a été déposé et que des tests sur des humains débuteront prochainement.

Radio-Canada indique que pour l'instant, les personnes qui veulent faire repousser leurs cheveux ont seulement deux solutions. La première consiste en un traitement pharmacologique aux effets secondaires assez importants et au prix élevé. La seconde consiste à se faire transplanter des microgreffons de cheveux, une option au prix élevé et qui serait douloureuse. Les ingénieurs américains de l'Université du Wisconsin-Madison ont donc peut-être entre les mains la solution miracle que tout le monde attend.