9 particularités que nous avons héritées de nos ancêtres et qui ne nous sont plus d’aucune utilité

Nous tenons plus de l'homme des cavernes qu'on ne le pense!

Trucs et Bricolages
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Publié il y a 5 ans
9 particularités que nous avons héritées de nos ancêtres et qui ne nous sont plus d’aucune utilité
capture d'écran - Facebook - Sympa

Le cerveau humain est un organe qui nous réserve continuellement des surprises! Les neurophysiologues ont découvert que c’était le néocortex, ou le nouveau cerveau, qui nous distinguait des animaux. Penser, tirer des conclusions, comprendre la logique sont des aptitudes humaines.

Toutefois, nous avons aussi ce que l’on nomme le cerveau reptilien. Même nos ancêtres les plus anciens le possédaient. Et c’est ce cerveau reptilien qui serait responsable de certains instincts hérités de nos ancêtres. Par exemple, le désir de survivre à tout prix!

Le site Sympa a relevé 9 particularités du comportement humain qui n’ont pas encore été analysées par la science moderne, mais qui n’ont aucune réelle utilité pour l’humain moderne. Les voici:

1. La dépendance à la lumière

Le mode veille/sommeil de l’homme primitif était régi par la lumière du soleil: les yeux de nos ancêtres étaient faits pour bien voir de jour. Le lever du soleil signifiait qu’il était temps de se lever et d’aller chercher à manger.

De nos jours, nous pouvons dormir autant que nous le souhaitons, surtout quand nous sommes en congé, mais dès que la lumière du soleil pénètre à travers les rideaux, notre corps nous ordonner de nous lever! Cela est dû à une chute radicale du niveau de l’hormone appelée mélatonine. La mélatonine contribue aux bonnes nuits de sommeil, mais sa concentration baisse lorsque la lumière atteint la rétine de l’œil.


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2. Être irrité par la sensation de faim

Ils nous arrive régulièrement de devoir repousser l’heure du repas ou de la collation à cause du boulot, des enfants ou d’un bouchon de circulation. Notre corps proteste à cela, par une sensation de vide dans l’estomac,  mais aussi par une augmentation de notre irritabilité. 

Quand nous sommes affamés, nous sommes prêts à crier contre quiconque se mettra en travers de notre chemin et nous cherchons n’importe quelle excuse pour entrer nous disputer avec autrui. La réalité, c’est qu’en réponse à une chute de glucose, le cerveau émet un signal qu’il envoie au corps afin qu’il produise de l’adrénaline. Ainsi, notre organisme nous permet de réaliser une partie de chasse beaucoup plus prospère! Mais cela peut détériorer nos relations avec les gens!

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3. Entreposer des réserves pour les jours plus sombres

Toute personne qui a tenté de suivre un régime strict s’est retrouvée confrontée à une résistance désespérée de son organisme!  Dès que la quantité de calories que l’on consomme baisse drastiquement, notre corps ralentit instantanément son métabolisme, évitant la perte de poids.

Or, dans nos tissus adipeux, on trouve un gène appelé récepteur d’insuline. Ceci dit au corps de bien conserver toutes les calories qu’il possède. À la fin, si l’être humain mange peu, cela signifie que la famine est enfin arrivée. C’est pour cela qu’il est nécessaire d’ingérer toutes les calories possibles, jusqu’à être en excès de poids. Le mécanisme de survie de nos ancêtres nous empêche donc de maigrir!


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4. Demeurer inactif

Avoir tendance à s’affaler sur le divan au lieu d’aller faire du sport est très normal! C’est la logique de notre code génétique, qui n’a pas changé depuis des milliers d’années. Il est tout à fait inutile de gaspiller des forces jusqu’à ce qu’apparaisse un prédateur ou une proie à l’horizon.

Selon notre corps, l’entraînement est une perte d’énergie, qui ne nous apporte ni nourriture ni sécurité devant un danger quelconque. C’est pour cela qu’il faut une forte volonté pour maintenir un style de vie sain et faire du sport régulièrement!

C’est aussi ce qui nous fait remettre à plus tard le nettoyage ou les courses; le corps ne voit rien d’important là-dedans, car ce n’est pas un problème de survie.


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5. Perdre de la vitalité en vieillissant

Quand on est jeune, on peut se demander pourquoi les personnes âgées n’écrivent pas de livres, ou ne se lance pas dans des activités créatives, puisqu’elles ont du temps libre et qu’elles ont accumulé une certaine expérience. C’est simple, avec l’âge, les niveaux de certaines hormones dans le sang diminuent et  l’efficacité du cerveau baisse et l’énergie vitale aussi.

Souvent, un aîné n’a pas la force suffisante pour réaliser de grandes choses, même si sa santé est bonne. La passion, l’enthousiasme et le dynamisme s’affaiblissent. Pour les générations actuelles, c’est tout simplement injuste et incorrect. Mais du point de vue de la nature, une personne âgée a déjà accompli sa mission de procréation et elle n’est plus aussi nécessaire à la société que durant sa jeunesse.

Cependant, l’âge auquel on atteint la vieillesse augmente de plus en plus, et par conséquent, beaucoup de nos contemporains vivent une vie active grâce aux progrès du monde de la médecine.


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6. Tout manger jusqu’à la dernière miette

Il y a très longtemps, on ne savait pas quand on pourrait manger de nouveau. C’est pour cela qu’après une bonne chasse, on remplissait son estomac autant qu’on le pouvait. Ainsi, on avait plus de chances de survivre si des temps plus difficiles se survenaient.

L’instinct qui vient de l’époque des cavernes nous pousse encore à manger tout ce que nous pouvons. Il est assez difficile d’expliquer à l’organisme affamé que, dans quelques heures, nous pourrons de nouveau manger encore sans problème.  Il exige de la nourriture, ici et maintenant !

Si on mange fréquemment et en moins grandes quantités, on calme notre corps, l’accoutumant au fait que les aliments sont toujours disponibles, tout le temps, et qu’il est inutile de manger pour créer des réserves au cas où!


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7. La peur du noir

Il y a très longtemps, l’arrivée de la nuit annonçait une menace croissante pour l’humain. Les s prédateurs sortaient chasser et l’humain était presque sans défense face à eux. C’était la lumière d’un feu qui pouvait dissiper l’obscurité et  permettait éventuellement d’effrayer les bêtes sauvages.

De nos jours, beaucoup d’enfants ont peur de l’obscurité. Ce sont les instincts de nos ancêtres qui se ravivent. Même si en toute logique, dans une maison, il n’y a rien à craindre, une peur inexplicable peut nous envahir. Et une histoire terrifiante réveille notre instinct d’autrefois!


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8. Sauver ce qui a le plus de valeur

On a tous déjà soufflé sur nos doigts congelés par temps très froid, en attendant le bus.  Il faut savoir que les extrémités gelées le sont à cause du corps qui ne les approvisionne plus en sang. Le corps le dirige vers les organes les plus importants et les plus vitaux à la place. Il est difficile d’expliquer au corps, que dans cinq minutes, nous monterons dans un autobus chauffé, et qu’un décès par hypothermie ne nous menace pas du tout!


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9. Se soumettre à la volonté des parents

Si une maman primitive interdisait à ses enfants de se baigner dans tel lac, il valait mieux suivre ses ordres! C’est pour cela qu’il est encore si difficile pour nous de résister à l’opinion de nos parents! Il y a des milliers d’années, les progrès se faisaient tellement lentement qu’il n’y avait aucune raison de douter de l’expérience et de l’exactitude des arguments des plus parents. Alors qu’aujourd’hui, les progrès se font à toute vitesse, et les nouvelles générations enseignent de nouvelles choses à leurs ainés.

Les parents ont souvent raison en matière de relations personnelles, mais parfois, ils ne saisissent pas les méthodes et les professions du monde moderne. Il faut donc mettre des efforts pour prendre des décisions allant contre leur volonté et de sortir du nid malgré leurs craintes de ce qui peut nous attendre!


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Source: Sympa